Prévue pour 2026, la réforme de la tarification des centres d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) n’a finalement pas été inscrite au projet de loi de finances pour 2026. Motif ? De trop grands risques techniques et politiques entourant ce projet, le contexte ne permettait pas de se projeter sur un calendrier clair et sécurisé pour les acteurs, résume la délégation interministérielle Dihal. Le délai permettra de faire aboutir les travaux sur l’équation tarifaire et de consolider le cadre juridique, assure-t-elle. D’ici là, elle entend avancer sur d’autres « chantiers structurants » : système d’information, référentiel d’accompagnement, cadre de pilotage…
Laura Taillandier
Publié dans le magazine Direction[s] N° 247 - décembre 2025